Tantôt, dans quelques heures,
Venue d’en bas, des Zétas,
La tempête
Qui encore tard hier soir devait, selon les prévisions, tout inonder.
Ce matin toutefois,
Les météorologues se sont ravisées
Et les millimètres de pluie hier prévus pour aujourd’hui
D’être ramenés à des valeurs beaucoup moins apocalyptiques.
Le Canadien, celui de Montréal, a perdu la série finale de hockey
En cette soirée du septième jour du présent mois de juillet.
Du hockey sur glace
Au mois de juillet...
Misère!
L’hiver est si long,
Pourquoi nous replonger dans l’atmosphère de cette saison
En nous inondant de reportages sur le hockey du Canadien?
Nous,
On a toujours préféré le soccer,
Le foot.
Pourquoi?
Parce que nullement besoin d’être un mastodonte pour y jouer
Et aussi,
Parce qu’il nous apparaît plus naturel de frapper un ballon du pied
Que de projeter une rondelle, un disque, au moyen d’un bâton.
Hein!
Frapper du pied un ballon
Comme on botte une cacanne de n’importe quoi au sol
Ou un caillou, pas trop gros quand même, pour l’expédier droit devant.
On a bien apprécié ce sport
Alors qu’on était un des rares de notre coin à y jouer.
Mais bon,
C’était hier.
Encore aujourd’hui on a fait,
À plus d’une reprise,
Le tour de la cour arrière.
La dernière fois, tout à coup, droit devant, a surgi le moqueur chat.
Nadagami
Venue d’en bas, des Zétas,
La tempête
Qui encore tard hier soir devait, selon les prévisions, tout inonder.
Ce matin toutefois,
Les météorologues se sont ravisées
Et les millimètres de pluie hier prévus pour aujourd’hui
D’être ramenés à des valeurs beaucoup moins apocalyptiques.
Le Canadien, celui de Montréal, a perdu la série finale de hockey
En cette soirée du septième jour du présent mois de juillet.
Du hockey sur glace
Au mois de juillet...
Misère!
L’hiver est si long,
Pourquoi nous replonger dans l’atmosphère de cette saison
En nous inondant de reportages sur le hockey du Canadien?
Nous,
On a toujours préféré le soccer,
Le foot.
Pourquoi?
Parce que nullement besoin d’être un mastodonte pour y jouer
Et aussi,
Parce qu’il nous apparaît plus naturel de frapper un ballon du pied
Que de projeter une rondelle, un disque, au moyen d’un bâton.
Hein!
Frapper du pied un ballon
Comme on botte une cacanne de n’importe quoi au sol
Ou un caillou, pas trop gros quand même, pour l’expédier droit devant.
On a bien apprécié ce sport
Alors qu’on était un des rares de notre coin à y jouer.
Mais bon,
C’était hier.
Encore aujourd’hui on a fait,
À plus d’une reprise,
Le tour de la cour arrière.
La dernière fois, tout à coup, droit devant, a surgi le moqueur chat.
Nadagami
