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Cinq cent soixante-quatorze

14/7/2025

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​Tombante,
Tombantes,
Est la pluie,
Sont les gouttes,
 
Toutes « Une » qu’elles sont,
Mais « Une » qui se perd
Dans l’indifférenciation
De la chute des gouttes composant l'averse tombante.
 
Ainsi fuient vers le sol les gouttes
Tandis que se manifeste l’élan
Succédant au verbe
Que précède l’illusion de la différenciation du début et de la fin.
 
Au même instant tombent les lettres,
Les unes après les autres,
Depuis un ciel
À la fois toujours ennuagé,
 
À la fois toujours ensoleillé.
Ainsi, on se voit là
Alors que revoilà
Cette voix-là
 
Qui tout à coup, hier peut-être, à nous, au coin d’une rue, se dévoila.
On s’échappe,
Entraîné par l’élan sur le sol réceptacle
De l’ondée pluvieuse bruyante, débordante, fuyante.
 
Évidemment, comme tout un chacun, on se questionne,
Cherche des réponses,
S’arrête,
Doute, hésite, branle dans le manche
 
Parce qu’en nous, souvent et parfois, pleut
Une absence de gouttes,
Entre un ciel gris pâlotte presque désennuagé
Et un sol imbibé d’eau de pluie presque swompeux.
 
Qui suis-je?
Que puis-je?
Tombe la pluie
Alors que rien ne nous importe si ce n’est qu’il en soit ainsi.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-treize

5/7/2025

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​Tout à coup?
Tout d’un coup?
À tout coup par contre,
Sans mot dire, on encaisse le coup.
 
Donc...
Tout à coup,
Un vide
Et de constater que nos convictions, toutes, se sont volatilisées.
 
On clique.
Devant, face à nous?
Un écran!
(Qui nous protège?)
 
Faire écran.
Tout à coup,
Un vide
Et les lettres de s’y engouffrer tout en nous entraînant à leur suite.
 
Comme si on choisissait,
Comme s’il était possible de choisir.
On plie, tout simplement.
Parce que l’épervière orangée, plante florale sauvage,
 
Jamais ne choisirait-elle étant donné qu’elle n’est que plante?
Quant à l’être humain,
L’entièreté de son expression
S’expliquerait selon une suite logique conséquentielle planifiée?
 
Tout à coup
(Encore une fois),
Voilà que toute forme définie se révèle être dotée
D’une conscience.
 
(Ché pas trop ç’que j’ai.
Je file de même.
Sans doute est-ce à cause de l’âge,
Du poids,
 
Comme il est souvent rapporté,
De l’âge,
Du poids du temps accumulé de la conscience individuelle
Qui s’auto-critique.)
 
Donc... Tout à coup, entre deux n’importe quoi,
On se sent vieux,
Envieux
Et désirant que ne soient sans vie euphémismes et atermoiements.
 
(Voilà!
Un simple bizounage de mots
Étant donné qu’il nous fallait compléter une ligne.
S’agit maintenant de nous relire... ou de poursuivre? On poursuit :)
 
Envieux?
Parce que parfois
Nos principes
Se transforment en un vide
 
Qu’on dirait sans fond
Et qu’effectivement
En cet instant précis,
De fond, tout nous porte à croire qu’il n’y en a pas.
 
Passent les heures,
Passent les leurres,
Passe le beurre
Avant qu’il ne devienne le leur.
 
C’est juste que parfois,
On ne sait plus
Et que cette sensation nous aspire et nous inspire
Afin de nous contraindre à ne voir que le pire.
 
Il n’empêche que, TOUT À COUP, à grands coups dans le vide,
On s’est remis à écrire.
Pas par choix
Puisque c’est une obligation, une nécessité, un devoir salutaire.
 
Il est 4h45.
Au milieu de la montée des autos qui va de la rue à la cour arrière,
Un merle d’Amérique en quête de vers.
Il a choisi, lui? Et moi? Pas plus que lui, j’dirais.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-douze

23/6/2025

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​Il arrive
Qu’arrivent des îles
De l’imaginaire
Les mots des maux
 
Soulevant,
Sous le vent fort de l’angoisse,
Une crainte
Criarde
 
Confrontée au silence paralysant
Que suscitent des images projetées
 Depuis un avenir à venir qui s'arrache
D’un passé inévitablement dépassé par sa propre expression.
 
Par contre,
Demain,
Toujours repoussé pour ainsi être,
On peut l’empoigner
 
À travers sa dépendance qui commande sa filiation continue au passé.
Sauf que de tout cela, on s’en tape :
En somme, du temps à venir, de celui passé et de celui présent,
De cette omniprésence temporelle insaisissable qui imprègne tout,
 
Bien qu’en dépit de cette contrainte
Puissent les mots s’échouer
Sur la feuille
Lignée,
 
Au cours d’un instant présent,
Sans cesse fluide,
À la fois borné et transporté
Par ce qui était et par ce qui sera,
 
Voilà que s’extirpe de ce point invisible le libre choix de vivre,
Toujours coincé entre hier et demain,
Entre avant et après,
Entre deux instants sans qu’on ne perçoive de mouvement
 
Tout en sachant que le marqueur temporel glisse sans arrêt
Sur la ligne qui va de la naissance à la mort :
Est-ce qu’un érable empêche ses bourgeons d’éclater
Pour que ne s’en extirpent les feuilles qui, en automne, s’en détachent?
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante et onze

9/6/2025

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​Parfois,
Tout d’un coup,
La confiance se disloque, s’effrite et enfin fuit
Telles les gouttes de pluie tombantes absorbées par un sol sablonneux.
 
Demain, se demande-t-on en cet instant précis, sera fait de quoi
Alors qu’aujourd’hui est à peine entamé?
Écrire :
Nous voilà, en ce moment, confronté à cette incontournable obligation.
 
Un jour,
On constate qu’il n’y en aura pas d’autre à venir;
Ce jour,
C’est le dernier parce que c’est toujours le même qui se poursuit.
 
Bin oui!
Sauf que ce n’est pas une reprise débile d’un scénario identique,
Mais bien une continuité, un emboîtement, un enchaînement
Composés d’une interminable enfilade de blocs temporels Jour/Nuit.
 
Depuis l’ouest,
La brise;
Depuis l’est,
La lumière du jour levant.
 
Pour être un
Il faut être deux;
Pour être un,
Il faut être d’eux.
 
Bin oui!
J’aime cette langue venue de France,
Même si je ne suis pas Français
Et même si on me répète que l’avenir appartient à une autre langue.
 
Un jour,
Alors que j’en restais près,
J’ai écouté le fleuve
Qui m’a fait comprendre que, pour couler, il avait besoin de deux rives.
 
Un jour,
J’ai découvert que cette langue qui est mienne n’est pas neutre
Et que pour s’écouler, tel un fleuve, elle avait besoin de deux rives :
D’un côté, le masculin; de l’autre, le féminin.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-dix

4/6/2025

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​Sur le sol,
La rencontre mitoyenne
De l’ombre du feuillage d’un érable et de la lumière de l’astre de jour
Dessine une ligne nette,
 
Une démarcation,
Insaisissable,
Que réussit pourtant à agiter
La brise légère.
 
Insaisissable certes la démarcation;
Toutefois, sans cesse mouvante.
De chaque côté
De cette linéarité qui impose un jeu de complémentarités :
 
Ombre et clarté;
Fraîcheur et chaleur;
Atténuation et éclatement.
Toujours, entre les deux, cette insaisissable ligne,
 
Dont la présence est incontestable
Et qu’on peut donc suivre des yeux,
Mais à la condition
Qu’elle-même nous saisisse afin qu’en surgisse
 
L’existence de l’inexistence
Séparatrice.
Un jour,
Voilà longtemps,
 
Soufflait
Une brise
Que, à un moment précis, on a su découvrir douce,
Mais d’une douceur qui nous est apparue à cet instant vivante
 
Et qu’on a pu deviner ainsi puisqu’il nous semblait devoir à la fois :
L’observer,
L’écouter,
La ressentir.
 
D’un côté, une surface frappée de la lumière du jour;
De l’autre, l’étendue ombrée que dessine le feuillage d’un érable;
Entre les deux, sur le sol, mouvante :
Une insaisissable ligne observable.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-neuf

31/5/2025

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​Rien,
Ne rien nier,
Et surtout
Ne jamais nier d’avoir renié ce que hier, enfant, vous appreniez.
 
Il n’empêche que,
Parfois
Et par foi,
Absolument rien ne nous empêche
 
De nier
D’avoir renié
D’une longue liste le dernier
Que, en fait qui n’était que vous-même, vous berniez.
 
Le soleil,
En ce moment,
S’arrache
De la noirceur envoûtante de l’incontournable passage de la nuit.
 
Parfois,
Au réveil,
Défile une série d’images du passé
Puisées dans les méandres de la mémoire sous contrôle de l’inconscient.
 
Peut-être qu’une décision doit être prise,
Qui ne regarde, on s’en doute, que nous-même,
Mais qui implique cependant
Pas mal de monde communément appelé entourage immédiat.
 
Le courant éolien,
Invisible,
Agite les branches
Qu’éclaire la lumière translucide du jour.
 
On écrit...
Pourquoi pas?
Tournent les pâles des éoliennes.
Demain sera-t-il fait de ce dont aujourd’hui on ignore tout?
 
Réentendue hier,
Une pièce musicale écoutée maintes fois du temps de notre adolescence
Qui, aujourd’hui, nous
Agresse alors qu’elle nous tourne en boucle dans le ciboulot.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-huit

24/5/2025

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Encore ce matin,
Dehors,
Sur « elle »
« il » pleut.
 
Un jour,
Voilà longtemps,
Tellement longtemps
Que même le temps ne s’en souvient plus,
 
Voilà donc que,
En ce temps si lointain de celui présent,
« il » et « elle » auraient profité d’un espace-temps
Pour s’extirper d’un monde exempt de toute emprise temporelle.
 
Mais cette fuite est survenue il y a tellement longtemps
Que ni « il » ni « elle »
N’osent en parler et prétendre qu’existe un monde intemporel.
Dehors, « il » pleut sur « elle ».
 
Lui, « il », n’est, semble-t-il, qu’eau
Qui, pour maintenir sa présence, se tranforme en rondeur,
Jaune, visible durant le jour,
Qui va d’est en ouest pour disparaître au gré de la nuit.
 
Quant à « elle »,
On la devine, la ressent, la réclame autant qu’on peut la honnir,
Quoiqu’on soit contraint d’attendre la nuit pour retrouver sa blancheur,
Mais que pour mieux nous surveiller, voilà qu'on la découvre diurne.
 
Tombe depuis les nuages la pluie;
Ruisselle sur le sol,
S
ous la couverture nuageuse et sous la mélancolie bruineuse,
L’eau venue de 
« il pour elle ».
 
« il » tombe.
« elle », l’hiver enfin achevé, la voilà transformant le sol.
Question :
Comment être « un sans être au préalable deux » comme « il et elle »?
 
Un jour, comme ça,
Soudainement et magiquement,
L’envie d’écrire.
Sur le coup, on n’a rien compris. Aujourd’hui? Pas vraiment plus.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-sept

22/5/2025

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​Il pleut.
« Il »?
Ah!
Quelqu’un appuie sur un accélérateur.
 
Gronde alors un moteur dont les vomissures tapageuses
Inondent l’environnement immédiat du véhicule.
En même temps tout autour et sans arrêt,
« Il » pleut.
 
On s’en tape.
Vrombissements assourdissants qui s’éloignent et qui enfin s’éteignent.
Mais qui est ce « il »
Qui pleut?
 
Sauf que là, tout à coup en cet instant précis, de pluie
Il n’en tombe plus
Bien que le « il » de « il n’en tombe plus »
Soit le même que le « il » de « il pleut ».
 
Temps frais,
Très,
Presque automnal,
Qui nous fait ressentir en rappel traumatisant le froid de l’hiver.
 
Quant à ce « il »,
Toujours celui qui s’obstine maintenant à tomber en minuscules gouttes,
Et si minuscules qu’on les dirait flottantes,
Le voilà tombant sans tomber en ce temps pas chaud et très humide.
 
Tout à coup, on se sent fatigué, physiquement,
Désireux de renouveau, mentalement,
Quelque peu démotivé, consécutivement,
Déboussolé, conséquemment.
 
Sans doute est-ce en raison de l’âge, du nôtre,
De la conscience qu’on a de plus en plus de celui-ci,
Qui, en pleine nuit une fois réveillé, nous empêche de nous rendormir,
Qui nous confronte à nous-même et à celui inventé qui se fissure.
 
Dehors,
À travers le froid humide coincé
Entre un ciel ennuagé et un sol gorgé d’eau de pluie froide,
« Il » qui continue de pleuvoir.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-six

18/5/2025

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​C’est parce qu’il ne peut en être autrement :
Fatalisme.
Quoique existe également l’approche selon laquelle on peut contrer
L’avènement de ce qu’on réduit à de l’inéluctable complaisant.
 
Tout n’est donc qu’une question de volonté!
Depuis quelques jours il fait doux,
Et doux comme en été.
Sauf que le printemps est tout juste à moitié entamé.
 
S’arrachent des branches des feuillus encore effeuillés
Les bourgeons,
Les oiseaux,
Les ombres.
 
Pourtant,
Pour tant d’efforts déployés en vue de l’acquisition de biens,
Il nous semble que d’aucuns devraient en avoir plus,
D’autres, vraiment beaucoup moins.
 
Peut-être, et c’est tout à fait possible, se trompe-t-on.
Hier, un cardinal rouge
Sur une branche d’un arbrisseau;
Hier, une corneille
 
Aux ailes repliées sur la pelouse;
Hier, un bruant chanteur
Fébrile se projetant d’une branche à une autre.
Hier,
 
Ché pas trop comment ça,
Tout à coup d’même tandis qu’on pigrassait,
Un reflux d’images du passé...
Comme en ce moment.
 
Pour stopper leur défilement,
On n’a pas choisi... comme en ce moment :
Accrochage de mots à l’aide d’un stylo à des lignes.
Pas le choix
 
Pour que cessent l’inquiétude, l’effet obsédant de la fatalité.
En somme, on n’a pas choisi si ce n’est de choisir de ne pas choisir.
Penser deux :
T’à l’heure, droit devant à moins de deux mètres, un moqueur chat.
 
 
Nadagami
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Cinq cent soixante-cinq

10/5/2025

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​Encore aurait-il fallu être là,
Sans y être.
Sauf que voilà,
On y était tout en nous obstinant à n’être qu’en ce lieu.
 
Ainsi va la vie.
Comme si en tout et toujours
On choisissait.
En fait, peut-être bien que oui.
 
Peut-être...
Comme en ce moment :
On choisit de croire que toujours on choisit
Alors que ne cesse d’eursoudre le doute.
 
Sol mouillé;
Ciel ennuagé;
Soleil endeuillé;
Verdure atrophiée.
 
« Je choisis. »
Oui ou non?
Aujourd’hui, on reconnaît avoir déjà par le passé cru choisir
Bien que la mouvance temporelle provoque un étiolement des certitudes.
 
Donc, jamais on n’aurait choisi en toute connaissance de cause.
En fait, il serait plus juste d’affirmer qu’on a acquiescé
Au désir d’une volonté imposée, inculquée, proche de l’endoctrinement.
Dehors, souffle léger le vent.
 
Puis un jour,
Les mots
Pour lesquels on n’a pas choisi ce devoir de les fixer à des lignes
Bien qu’on ait accepté avec le temps de se soumettre à cette requête.
 
Ainsi de nous éloigner de tout
Et d’être aspiré par le vide jusqu’à ce qu’on se tanne de cette chute
Ainsi que de cette volonté aseptisée qui tend à se nourrir d’inertie.
Les jeunes pousses des vivaces s’arrachent de la terre en hiver gelée.
 
Choisir :
Parfois, l’impression est là.
Parfois, alors que se pointe la vingt-huitième ligne, on se dit que :
L'asbence de choix relève du choix de son absence.
 
 
Nadagami
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