Une heure :
C’est tout le temps qu’on a.
Ce matin,
La neige.
On est descendus en ville.
Nous a entraînés la route.
Les flocons tombaient.
On a ravalé.
En arrivant à Saint-Lazare,
La neige a cessé
Et le couvert nuageux a commencé
À se disloquer.
On a continué à rouler.
Très vite le ciel est entièrement passé au bleu.
Depuis la route,
On pouvait admirer les Laurentides
Qui se dressent, pour qui l’ignore, de l’autre côté du fleuve.
Jamais a-t-on vu par le passé,
Depuis les hauteurs
Qui surplombent le village de Saint-Gervais
Avec tant de précision,
Avec tant de détails,
Le paysage montagneux qui s’étire du côté de la rive nord.
Ce matin, tout était d’une limpidité exceptionnelle!
On est finalement arrivés en ville.
On y a acheté
Ce qu’on devait acheter,
Puis on est revenus.
Une fois de retour,
On s’est réjouis de constater
Que la bleuité du ciel
S’était glissée jusqu’ici.
Mais ce n’est pas encore l’été,
À peine le printemps.
Qu’importe!
Après le dîner, on s’est habillés et on a profité du beau temps.
Nadagami
C’est tout le temps qu’on a.
Ce matin,
La neige.
On est descendus en ville.
Nous a entraînés la route.
Les flocons tombaient.
On a ravalé.
En arrivant à Saint-Lazare,
La neige a cessé
Et le couvert nuageux a commencé
À se disloquer.
On a continué à rouler.
Très vite le ciel est entièrement passé au bleu.
Depuis la route,
On pouvait admirer les Laurentides
Qui se dressent, pour qui l’ignore, de l’autre côté du fleuve.
Jamais a-t-on vu par le passé,
Depuis les hauteurs
Qui surplombent le village de Saint-Gervais
Avec tant de précision,
Avec tant de détails,
Le paysage montagneux qui s’étire du côté de la rive nord.
Ce matin, tout était d’une limpidité exceptionnelle!
On est finalement arrivés en ville.
On y a acheté
Ce qu’on devait acheter,
Puis on est revenus.
Une fois de retour,
On s’est réjouis de constater
Que la bleuité du ciel
S’était glissée jusqu’ici.
Mais ce n’est pas encore l’été,
À peine le printemps.
Qu’importe!
Après le dîner, on s’est habillés et on a profité du beau temps.
Nadagami
