Plus bas, le fleuve, le Saint-Laurent où l'or rend sain, que nous sommes allés voir, depuis Lévis, qui quand nous sommes arrivés coulait vers la mer, qui quand nous sommes repartis coulait en remontant dans les terres. (C'est peut-être pour cette raison que longtemps on a cru qu'on pouvait se rendre en Chine en suivant le fleuve Saint-Laurent!)
En plus, où nous déambulions, du côté de Lévis, sur la piste cyclabe, il y avait du monde, beaucoup plus qu'ici avec, à côté une mer d'eau en mouvement qui pue quand même un peu. Tout s'équilibre donc : en bas, ils ont le fleuve qui est beau mais qui pue un peu comme ici, où c'est la campagne qui est belle mais qui, comme le fleuve, pue un peu.
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Peu pue ou pue peu : gramme d'Ana.
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Le fleuve peu pue et alors que la campagne pue peu.
Et moi, j'en peux p'us!
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Daniel verret