Qui, comme
La neige
Venue
D’en haut,
S’échappent
Parce qu’il
Le faut.
Ils me
Floconnent
D’abord
Dessus.
Mais, j’les
Soupçonne
D’agir
Ainsi
Pour que
Se forment
En moi
D’énormes
Nuages.
Tombent
Ensuite
Les unes
Après
Les autres
Les lettres
Et qui,
Fondues,
Se changent
En mots.
Par contre,
Je suis
Nuage
Sans être
Très sage.
Mais je
Ménage
Les dé-
Rapages
Parce que
Parfois
Il faut
Garder,
Comme les
Nuages
Pour eux
La neige,
Les mots
Gonflés
Mais trop
Légers.
nadagami