Beaucoup même.
Vingt-quatre minutes
Pour le blogue.
Je tape.
J’efface.
Le temps passe.
Ne reste que vingt minutes.
Dehors, le vent.
Dehors, le soleil.
Dehors, les nuages.
Dehors, un mélange de vent, de soleil, de nuages et aussi de bleu.
Le vent siffle
Alors qu’il s’engouffre dans le solarium,
Passe par la cuisine et
Ressort par la porte moustiquaire qui donne sur le côté de la maison.
En principe, il devait pleuvoir toute la journée.
Quelques gouttes sont tombées vers le milieu de l’avant-midi.
Ensuite le vent s’est levé,
Emportant avec lui les nuages gris.
On ne s’en plaindra pas.
Dehors, on est bien.
Une belle journée d’été,
Chaude et venteuse.
Derrière, tout est majestueusement vert.
Il a tant plu.
Tout ce qui est verdure projette l’abondance d’eau dans le sol.
Il vente d’ouest.
Quelques minutes encore.
Quelques mots encore.
Quelques résistances encore.
Quelques lignes encore.
Le soleil s’échappe du couvert nuageux.
Tout s’illumine, déborde de rayonnement.
Le vent caresse les feuillages et
Les feuilles de se laisser bercer par l’onde invisible.
Le temps passe.
Il est même écoulé.
Dehors, au bout de l’échelle,
Pinceau à la main, il y a la maison à peinturer.
nadagami